J’ai rencontré la sérigraphie lors de mon parcours aux beaux-arts de Nice, la Villa Arson. Là où beaucoup choisissent le beau, j’ai décidé de choisir le bien-être. Pour mettre en forme cet état, j’organise officiellement la pratique du football sous les couleurs du FC Arson Villa.
Et pour communiquer, j’utilise la sérigraphie.
«Au-delà de la performance sportive réalisée ensemble, ce sont tous ces moments de partage et de complicité qui m’ont fait le plus plaisir. De réels moments de Bonheur.»
Du bien-être, je me laisse glisser vers le bienfait . Comme un pied de nez au monde de l’art d’abord, qui préfère le «bien fait». En prenant conscience du pouvoir subversif des ingrédients ensuite, au dos de nos produits. Pour l’écologie enfin, qu’elle soit mentale, sociale ou environnementale. Ainsi à la sortie de l’école, je décide de créer une oeuvre à l’allure d’un projet de vie :
le RO Studio.
Lorsque je pense à la sérigraphie, je pense d’abord à la trame. La trame, c’est une combinaison de points, plus ou moins petits ou grands, plus ou moins espacés ou proches, qui, vus ensemble, permettent de reproduire les contrastes d’une image.
Dès le début, j’ai regardé la trame comme un schéma d’histoire-géo. Comme la représentation en pointillé d’une population. De là, la sérigraphie est restée pour moi l’outil parfait pour valoriser les liens qui nous unissent et font de nous une société.
Avec le RO Studio, je souhaite donner à ces relations le sens de mes couleurs et la direction de mes valeurs.